Bonjour à tous!

Je reviens aujourd'hui d'un séjour bien sympathique en Serbie, terre natale de mon paternel. En gros, ma grand-mère nous a gavés (mon père, mon frère et moi) de plats tous plus succulents les uns que les autres; il a fait tellement chaud qu'en pleine nuit, il faisait encore trente degrés au moins; les filles serbes sont bien toujours les plus jolies que j'ai rencontré, oui m'sieur; les soirées entre amis au pays du "dobrovece" ("bonsoir"), c'est toujours autant le pied que l'an passé.

En bref, un très, très bon séjour, à la fois reposant et amusant. Et vous, vos vacances? Repos, farniente? Ou fiesta et alcoolisation plus ou moins avancée? Allez, vous pouvez tout avouer, c'est pas moi qui vais vous juger... :D


Bon, ça fait encore très article "je raconte ma vie". Sans doute mais, bien que je suis sur le point de continuer sur ce registre, j'écris cet article d'abord et avant tout parce que je suis triste.
Triste parce qu'une petite boule de poil m'a quitté, nous a quitté, mardi dernier. Alors que j'étais à l'étranger, mon chat - une femelle, "Lilly" - est décédé. Ma mère nous a annoncé ça seulement aujourd'hui, pour ne pas gâcher notre voyage, sage décison s'il en est...


Alors, mon "chafou", je vais te regretter, vraiment, longtemps, parce que:

- malgré ce que disent les gens, c'était toi le chat le plus mignon au monde. Croyez moi.

- toujours malgré ce que disent les gens, c'était aussi toi le chat le plus chiant au monde! En mode "je veux rentrer", puis "je veux sortir" en deux minutes, environ cinquante fois par jour. La porte s'en souviendra sans doute avec nostalgie...

- ta manière de "faire du pain" avant de t'asseoir sur les genoux de quelqu'un faisait certes mal, mais t'avais l'air tellement bête que c'était trop fort. Et même le fait que tu mettes les griffes la plupart du temps n'y change rien.

- tu devinais toujours quand on allait te donner un peu de bouffe quand on était à table. Le sixième sens du prédateur flemmard...

- tu descendais les escaliers tellement lourdement que je croyais que c'était mon père... Ou "le-chat-qui-pesait-cent-kilos" x)

- parce que tu croyais que j'étais ton petit, et à chaque fois que j'étais malade tu venais me voir genre "c'est pas grave, gamin, ça passera" \o/

Pour ça, et pour toutes les souris que t'aura épargnées dans ta vie - il doit bien y en avoir une, non? -, merci, mon chat, et bon voyage au pays des gamelles toujours pleines, des portes toujours ouvertes et des câlins éternels!

So long, cat...

(oui, je suis un peu ridicule, mais franchement, "fuck you" sur ce coup là!)


Dzoiin' "maaaow"

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